The jewish-christian notion of creation provides fruitful insights towards understanding sustainability: respect and admiration for all creatures; a sense of creational interconnectedness; human creational responsibility amidst a broken reality.
Firstly, the word “creation” indicates God’s presence and work in an evolving world at the scale of the universe. This commitment invites us to respect our fellow human beings and nature, and offers us the opportunity to explore and enjoy the world’s wonderful dynamics. Can we design policies of sustainability based on attitudes of marvel, beyond perspectives of competition and utility that often determine our approach to nature? Are we willing to learn from other cultures, such as the indigenous people, how to relate constructively to nature?
"We human beings are not only the beneficiaries but also the stewards of other creatures"Pope Francis (Evangelii Gaudium, 215)
Care of creation is not just something God spoke of at the dawn of history: he entrusts it to each of us as part of his plan.
Prof. Marie-Jo Thiel
Prudence audacieuse
En matière de science et de recherche, les principes qui guident l’Union européenne et qui sont formalisés dans Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne ne sont guère différents de ceux que défendent les chrétiens. De part et d’autre, le regard est d’abord éminemment positif. L’humanité a besoin à tous les niveaux de la recherche scientifique pour contrer les maux et malheurs de l’humain et de l’humanité. L’Eglise dans ses différentes instances le répète à temps et à contretemps. Le Compendium de la Doctrine sociale de l´Église le note : « En soi, les résultats de la science et de la technique sont positifs: Loin d'opposer les conquêtes du génie et du courage de l'homme à la puissance de Dieu et de considérer la créature raisonnable comme une sorte de rivale du Créateur, les chrétiens sont au contraire bien persuadés que les victoires du genre humain sont un signe de la grandeur divine et une conséquence de son dessein ineffable » (N°457). Plus encore, l’Eglise se dit « consciente qu'on ne parvient pas à une profonde connaissance de l'homme uniquement par la théologie, sans les apports de nombreux savoirs auxquels la théologie elle-même se réfère » (N°78).
“(...)Doué d'intelligence et de liberté, (chaque homme) est responsable de sa croissance, comme de son salut (...)”Pape Paul VI. (Populorum progressio, 15)